Vient de paraître : "Les Seydoux au Cateau Cambrésis"
Une épopée familiale à travers l’histoire industrielle
Plongez dans l’histoire fascinante de la famille Seydoux, dont les racines s’ancrent profondément dans le Cateau-Cambrésis, une région marquée par une tradition textile séculaire. De leur arrivée en France au XIXe siècle, en passant par l’essor de leur entreprise textile, jusqu’à leur départ douloureux du Cateau, ce livre retrace une aventure humaine et industrielle unique.
À travers les pages de cet ouvrage, découvrez comment les Seydoux ont su, génération après génération, allier vision industrielle, engagement social et adaptation face aux tumultes politiques et économiques. Cette saga familiale, qui s’étend sur presque deux siècles, met en lumière non seulement les réussites, mais aussi les défis et les sacrifices qui ont jalonné leur parcours.
Rédigé par l’Association de la Famille Seydoux, cet ouvrage est un hommage richement documenté aux cinq générations qui ont permis l’aventure industrielle au Cateau-Cambrésis pendant plus de 150 ans.
"L’ensemble Flos de Virga" fêtera ses 3 ans avec son prochain concert "Visitation" !
L’identité de l’ensemble est construite autour de notre héritage musical le plus ancien : la polyphonie médiévale et le chant grégorien. Sur ce répertoire, le chœur propose des programmes variés toujours en lien avec le lieu et le temps du concert. Vendredi 31 Mai, à 20h, à l’église Notre Dame de Boulogne, les auditeurs pourront découvrir la musique de l’ars antiqua, polyphonies parisiennes du XIIIe siècle !
Chers cousines et cousines des branches Albert et Georges Seydoux
Notre ancêtre commun Paul Krug avec son ami Charles Sautter ont décidé la construction du Temple d’Étretat pour servir les communautés protestantes et anglicane en villégiature à Étretat et dans les environs.
Le Temple d’Étretat fut inauguré en 1883.
L’Association pour le temple d’Étretat pour fêter les 140 ans du Temple, a publié un livret retraçant son histoire, les correspondances de Paul Krug et certains des nombreux événements familiaux.
Ci joint un bulletin de souscription a nous retourner.
L’Association sera aussi heureuse d’enrichir ses archives de tous documents que vous pourriez détenir concernant l’histoire et la vie du Temple et vous en remercie.
Joyeux Noel
Nicolas Schlumberger
Trésorier de l’Association pour le Temple d’Étretat
J’ai le grand plaisir de vous annoncer qu’une exposition en hommage à mon père Eric Seydoux aura lieu très prochainement à la Bibliothèque nationale de France.
L’Atelier d’Eric Seydoux, imprimeur et éditeur en sérigraphie
du 21 novembre 2023 au 21 janvier 2024
à la Galerie des Donateurs, BnF site François-Mitterand, Paris 13e
En photo, présentation de l’exposition dans la revue ‘Chroniques’ de la BnF , avec un très bon texte des commissaires d’exposition ainsi qu’un entretien avec l’artiste Frédérique Lucien // On peut les lire sur le site de la Bnf www.bnf.fr/fr/agenda/latelier-eric-seydoux
Si vous n’avez pas déjà rejoint l’association qui a pour but d’étudier l’histoire et la généalogie de la famille SEYDOUX et de mettre en relation les descendants d’André SEYDOUX (1732-1795) et de Charlotte TORSY, contactez-nous.
Clovis Rossillon (1511121) : fouille à Gisr Al-Modir (Egypte)
Nasma Reda , Dimanche, 05 février 2023
4 questions à Clovis Rossillon, co-fondateur et président du Fonds Français pour l’Archéologie et la Recherche (FFAR) et sponsor des fouilles de la mission de Zahi Hawas à Gisr Al-Modir.
Al-Ahram Hebdo : Pour quelle raison avez-vous choisi d’explorer le site de Gisr Al-Modir ?
Clovis Rossillon : Notre projet avec Dr Zahi Hawas a un but essentiel, celui de trouver la pyramide de Houni, ainsi que la tombe d’Imhotep. On soupçonne qu’elles sont dans cette zone mais on ne sait pas où exactement, alors pour commencer, on doit prendre une pelle et creuser.
— Mais pourquoi Gisr Al-Modir ?
— Ce site est très peu recherché et fouillé. On considère cette zone comme étant un site archéologique intact qui cache encore beaucoup de secrets. C’est un endroit qui peut nous donner des informations importantes, ainsi que de nouvelles découvertes.
— Depuis quand avez-vous commencé ce projet et quels sont les résultats obtenus jusqu’ici ?
— On a commencé notre ambitieux projet en 2017. Depuis cette date, on compte au moins un total de 300 pièces antiques qui varient entre poteries, sarcophages, statues, etc. Nous sommes chanceux de trouver ces belles pièces. La saison 2019-2020 était la meilleure en découvrant, non loin de la pyramide de Pépi Ier, de beaux sarcophages très bien conservés. Cette année aussi, on a eu la chance de trouver des tombes décorées des dignitaires de l’Ancien Empire, qui conservent toujours leurs scènes en plus de puits qui varient entre 10 et 20 mètres de profondeur où la mission a découvert d’uniques sarcophages.
— Quels sont vos plans futurs ?
— Le site est assez large. On se dirige vers l’ouest, ainsi que vers le nord, loin des fouilles faites cette année, espérant la trouvaille exceptionnelle de la pyramide de Houni et la tombe du vizir et architecte du roi Djoser, fondateur de la pyramide à degrés.
Madame Bouvard ; ancienne documentaliste du Cateau :
« Je vous adresse l’annonce de la parution d’un ouvrage d’histoire important sur les mulquiniers [1] protestants du Cambrésis. L’auteur, Joël Blondiaux, que vous devez connaître, est un historien exigeant qui a accompli un remarquable travail qui fera date. »
Pour la première fois depuis plus de cent ans, un ouvrage vient à propos pour rappeler que le Cambrésis a été le creuset de communautés dissidentes et le théâtre d’évènements majeurs les concernant, étalés sans interruption du XVe siècle jusqu’à la Révolution. A partir de documents originaux, scrupuleusement transcrits et commentés, l’histoire de centaines d’individus et de familles acquis aux idées nouvelles peut être appréhendée sans filtres ni idées préconçues. Nos horizons sont toujours assombris par les intolérances religieuses et les violences qu’elles génèrent. Tourner le regard vers des problèmes identiques survenus dans le passé et aujourd’hui révolus est une opportunité pour saisir les mécanismes se rapportant au fait religieux et reconnaître les réponses qui y furent apportées, pour en comprendre les rouages complexes et les connexions dans l’espace et dans le temps. Pendant plus de cinq siècles, le Cambrésis, petit territoire agricole a abrité des foyers de résistance et de proposition oubliés de l’histoire, et pourtant à l’origine d’évènements singuliers et de destins attachants.
L’ouvrage s’ouvre sur une synthèse de l’histoire du protestantisme dans le Cambrésis. Suit la transcription des textes et procès, sources pour la plus grande part inédites, qui sont aux archives Départementales du Nord (ADN) ou dans les anciennes Archives Communales de Cambrai conservées au Laboratoire culturel. Cette mise à disposition originale offre au lecteur la possibilité de consulter une multitude d’actes juridiques, de listes, d’états administratifs et de correspondances mettant en scène plusieurs milliers d’individus, souvent tisseurs et mulquiniers, dont certains sont à l’origine de familles et d’industries marquantes de notre territoire ou exilées par nécessité. Un index systématique en facilite le repérage. Historiens, généalogistes, amateurs de toutes sortes, amoureux du Cambrésis, de ses hommes et de ses femmes, devraient y trouver matière et réflexion.
(format A4 —432 pages + 15 planches d’illustrations hors texte ) prix ;35 euros :
Bon de commande :
Parution : 03/03/2022 Maia Kanaan-Macaux Les exilés Prix : 19,00 Euros TTC Editions JULLIARD
En prenant pour sujet l’aide bénévole qu’apportent certains citoyens à de jeunes migrants isolés, Maïa Kanaan-Macaux nous livre un roman fort, engagé et bouleversant sur l’errance et la reconstruction de deux êtres dévastés par leurs trajectoires intimes.
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À la suite d’un drame qui remet en cause son existence, Isabelle abandonne son mari, son métier d’enseignante et ses élèves. Dans son errance, elle rencontre un jeune migrant guinéen de quinze ans pour lequel elle se prend d’affection. Logée dans le même hôtel social que le garçon, Isabelle retrouve le plaisir de transmettre et commence par enseigner à Ibrahim les rudiments du français. Élève motivé, mais toujours sur ses gardes, l’adolescent raconte peu à peu son histoire. Contraint par la misère à traverser le désert, puis la Méditerranée, cet enfant d’agriculteur doit trouver de quoi financer les médicaments indispensables à la survie de son père. Son voyage est jalonné des pires expériences qu’un adolescent puisse vivre : la violence et la cupidité des réseaux de passeurs, la mort de certains de ses compagnons et enfin l’enfer administratif des autorités françaises. Alors qu’Ibrahim peine à se faire reconnaître, malgré l’aide d’Isabelle, comme mineur isolé, ils font la connaissance de Jean, un oléiculteur de la région, qui remarque immédiatement le talent du garçon pour soigner les arbres. Entre ces personnages solitaires, une relation d’amitié, de respect et de solidarité se noue, jusqu’à ce que Ibrahim atteigne la majorité et qu’à nouveau son statut soit fragilisé.
Construit sous la forme de chapitres alternés croisant les voix d’Isabelle et de Ibrahim, Les Exilés est avant tout un roman poignant sur la magie des rencontres et la reconstruction des êtres blessés par la vie, un témoignage magnifique de la capacité des individus à retrouver du sens à leur vie, quand tout espoir semblait les avoir abandonnés.
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Maïa Kanaan-Macaux est née en Italie et travaille entre la Normandie et Paris. Elle est productrice de projets culturels. Auteure d’un recueil de paroles de femmes issues de l’immigration, On ferme les yeux, on marche, on ne sait pas si c’est la vie ou la mort (Les mauvaises herbes éditions), elle a coécrit deux documentaires avec Fabrice Macaux, Onu, la diplomatie du silence (Public Sénat, 2016) et Aux pieds de la gloire (Arte France, 2020). Chez Julliard, elle a publié deux romans : Avant qu’elle s’en aille, paru en mars 2020, et Les Exilés, en mars 2022.
À l’occasion des expositions conjointes d’ArtCarouge, la galerie le Salon Vert
est ravie de présenter une série d’œuvres récentes de l’artiste française
Maïlys Seydoux-Dumas au Salon Vert. Rejoignez-nous à Carouge le samedi 5 et le dimanche 6 mars de 11h à 17h pour découvrir
« Une étoile au théâtre » en compagnie de l’artiste.
Exposition du 5 mars au 23 avril 2022
Mardi et mercredi sur rendez-vous,
jeudi et vendredi 14h30-18h30, samedi 11h-17h.
Galerie Le Salon Vert
Angela Wollny
Rue Ancienne 15 - CH-1227 Carouge/Genève
+41 79 382 87 23 www.salonvert.ch
Le Salon Vert se réjouit d’accueillir pour la première fois Maïlys Seydoux Dumas, artiste française née en 1970 à Saumur, qui présente un ensemble récent de peintures à l’huile sur papier, tapisseries et bois gravés dont certains font l’objet de publications et d’un coffret réalisés en collaboration avec l’artiste français Haïm Kern.
Formée à l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, l’artiste se dirige vers une multiplicité de techniques qui lui permettent une approche nouvelle à chacun de ses projets. Ses récentes expositions, aux titres évocateurs, ont eu lieu, seules ou en collaboration avec Haïm Kern. On citera À chacun son étoile au Dôme de la Ville de Saumur, Le Rideau se lève aux Acacias, scènes d’atelier au Château de Varengeville à Bruxelles, Bleu or rose à Paris chez Sagot-Le Garrec, Histoire de peintre au Centre culturel Alexandre Dumas de Villers-Cotterêts et Art Élysées à la Galerie Koralewski de Paris.
Dans son atelier parisien, Maïlys Seydoux Dumas observe les éléments qui composent son environnement, les objets, le petit jardin clos, les oiseaux dans le ciel, le mouvement des végétaux, le changement des saisons. Un état de poésie contemplative nourrit ses créations qu’elle décline en peintures, lithographies, tapisseries et bois gravés.
Telle une conteuse elle nomme les objets et leur donne vie en tant que personnages.
« J’établis des liens avec les motifs que je dessine, je les retrouve chaque jour », explique-t-elle. Les sujets évoluent selon un narratif personnel, à l’instar de ces objets peints séparément, puis mis en scène en un « Théâtre des objets », une scénographie intitulée Le rideau se lève aux Acacias, scènes d’atelier. Dans cette publication chaque objet est un véritable personnage qui a son caractère propre et établit des relations avec ses voisins.
De même, dans Le Périple de l’étoile, l’artiste donne le premier rôle à une petite étoile échouée au Bas Fort Blanc trouvée sur la plage de Dieppe. L’étoile constitue le fil rouge de son exposition au Dôme de Saumur en 2021, elle revient sur scène au Salon Vert, notamment sous la forme d’un bijou, pour dialoguer avec les objets de son Théâtre.
L’imaginaire de l’artiste se révèle ainsi en tableaux qu’elle aime associer à l’écriture, dans une collaboration de longue date avec l’artiste graveur, peintre et sculpteur français Haïm Kern, dont les textes et poèmes accompagnent ses compositions publiées en de précieux opuscules.
Yves Lenoir (214152) nous a fait part de ses souvenirs : « Mon dernier souvenir de ce tableau remonte au temps où nous prenions nos vacances dans la villa Salve Regina de Saint Lunaire. Il se trouvait dans la chambre qu’occupait Tante Solange et était assez abîmé (mais des dégâts faciles à réparer). La photo montre un tableau en bel état. Si ce n’est pas celui de la chambre de TS, alors l’un des deux est une excellente copie. » et Bernard Seydoux (22378) de son analyse : « Henri Sieber ayant acquis Vélox en 1886 et ne l’ayant pas engagée dans des régates, on pourrait penser qu’il n’a été commanditaire que du tableau ». Bernard a signalé la vente à François Chevalier auteur d’un livre sur le Velox.
Comment une petite fille devient une terrible hors-la-loi d l’Ouest américain après s’être fait gronder par sa mère. Elle se lance dans une grande chevauchée sauvage dans laquelle sa colère pourra s’exprimer et se transformer en jeu imaginaire.
Aux Éditions du Lys Bleu (40 rue du Louvre, 75001 Paris ), Guy Lenoir (214153) a le plaisir de porter à votre connaissance la sortie d’un recueil de poésie : « MIROIRS ».
Prix de 22,50 Euros
« A travers les multiples facettes de ma poésie, née d’un dialogue toujours inattendu avec le vivant et qui s’impose en dehors de tout vouloir, la résonance qui réveille ma vibration intérieure fait naître par intuition les images et les mots, lesquels vont traduire au mieux ce qui m’a interpelé.
C’est comme une musique qui monte et s’exprime en vers dont le tempo initial va s’imposer à tout ce qui découlera, trame de fond et processus qui unifient ma poésie :
Le Prince Noir
« En tes yeux noirs danse le temps,
Miroir du galop des nuages ;
Ton corps se déploie, ingénu,
Dans l’énergie d’un monde nu…. »
Pour plus d’information, consultez la présentation faite par l’auteur
et aussi, lisez l’article déjà paru sur son ouvrage précédent
Des uns et des autres
Claude et Florence Morin
Henri Widmer
Stéphane Erouane Dumas
Tosca Borghesi-Lenoir
Kléber Rossillon
Elvire Rallis
Un appel d’Olivia Dupré
Antoine Seydoux
Interview de Bruno Carmichael
In memoriam : Dominique Seydoux
Inauguration de l’Usine Philippe Coste
Henri Seydoux et Marie Olivier, mes grands-parents paternels par Marie de Blic
L’oncle Dominique par Sébastien Langlois-Berthelot
Les uns et les autres
Bertrand Coste
Stéphane Coste
Mariage d’Hortense Lenoir
Le Fabrik Café de Michel Lenoir
Interview de Bruno Seydoux
Une histoire d’archives par Jean Seydoux
Henri Widmer
Carte postale diplomatique par Stéphanie Seydoux
Exposition Maïlys Seydoux-Dumas
Recherches de photos
Notice biographique de Geneviève de Maindreville
Portrait de Marie Froment
Démolition du château de Beauvois en Cambrésis
Réarmement moral : un engagement qui traverse plusieurs générations de notre famille